Hellboy Rises sur Netflix : des critiques à l’un des films les plus regardés de Netflix

0
13
hellboy


Contre toute attente, la version 2019 de Hellboy a défié les critiques et a été couronnée dans le Top 10 mondial de Netflix.

Dans des événements que personne n’avait vu venir, le film Hellboy de 2019, avec David Harbour dans le rôle principal, est sorti de l’ombre critique pour revendiquer une place dans le top 10 mondial le plus convoité de Netflix, près de cinq ans après ses débuts en salles, que beaucoup qualifient de tragiques. . Ce retour est plus prononcé au niveau de la réception des gelées principales, qui est donnée au minimum à 17% d’agrément sur tomates pourries.

Réveil inattendu.

Au cœur de ce phénomène se trouve l’attrait inébranlable des histoires de rédemption, à la fois à l’écran et hors écran. Avec 7,5 millions d’heures visionnées au cours de la semaine du 18 au 21 mars, le film est non seulement un concurrent inattendu, mais il a même dépassé Black Adam pour devenir le sixième film le plus regardé sur Netflix dans le monde. Ce fait n’est pas seulement surprenant, non seulement en raison de la terrible comparaison avec la première représentation au box-office, mais aussi en raison de la nature du contenu : un récit sombre mêlé de mystère et d’action qui semble avoir trouvé son secret, ou il est peut-être temps.

Garçon d'enfer

Dans l’année En 2019, Hellboy a tenté en vain de relancer la franchise, suspendue depuis le dernier opus de Guillermo del Toro, Hellboy : L’âge d’or, une décennie plus tôt. Cependant, les critiques le décrivent comme manquant d’imagination et incapable de protéger l’intérêt public. Le redémarrage réalisé par Neil Marshall visait à ramener l’enquêteur paranormal démoniaque dans une bataille apocalyptique contre une puissante reine ancienne, mais s’est avéré être un échec à la fois critique et financier, luttant pour récupérer son budget de production de 50 millions de dollars.

Le retour de Hellboy ?

Cependant, les rumeurs d’une nouvelle aube pour Hellboy ont commencé à circuler avec l’annonce de Hellboy: The Twisted Man. Ce nouveau chapitre cherche à ramener le démon rouge sur les écrans, cette fois dans les Appalaches des années 1950, inspiré par Mike. Les petits films drôles de Mignola. Réalisé par Brian Taylor (Crank, Happy !) et mettant en vedette Jack Casey, Jefferson White, Adeline Rudolph, Joseph Marcel et Leah McNamara, le projet promet de relancer une saga qui pourrait très bien racheter son héritage cinématographique.

Garçon d'enferGarçon d'enfer

Hellboy a rappelé que le temps et le contexte peuvent changer radicalement la perception d’une œuvre. Sa résurgence sur Netflix suggère que le public est prêt à lui donner une seconde chance, en particulier lorsque l’accessibilité et la commodité des plateformes de streaming permettent d’explorer des titres qui autrement auraient pu être négligés ou prématurément rejetés.

Alors que Hellboy : The Twisted Man se prépare à entrer en scène, l’espoir est de voir s’il peut utiliser ce regain d’intérêt pour offrir une expérience qui satisfasse non seulement les fans de longue date, mais qui séduise également de nouveaux publics. Avec un récit situé dans un contexte historique fascinant et une nouvelle direction à prendre, il y a des raisons d’espérer que l’héritage de Hellboy est à l’orée d’une nouvelle ère.

Garçon d'enferGarçon d'enfer

Versions de Hellboy au cinéma

À commencer par la brillante performance de Ron Perlman sous la direction de Guillermo del Toro, les incarnations précédentes de Hellboy ont été variées. Acclamées par la critique et les fans, ces versions se caractérisent par l’humour noir unique, l’action palpitante et la profonde humanité du personnage central. Contrairement à l’édition 2019, les films de Del Toro sont célébrés pour leur riche narration visuelle et leur adaptation fidèle des sources de bandes dessinées, établissant ainsi une norme élevée pour les adaptations de bandes dessinées au cinéma.

Cette comparaison met en évidence à quel point différentes interprétations peuvent grandement influencer la réception d’une œuvre, la version 2019 se plaçant dans l’ombre de ses prédécesseurs.