Revue de la saga Marvel. Punition par Ennis et Dillon 1. Bienvenue à la maison, Frank

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 Revue de la saga Marvel.  Punition par Ennis et Dillon 1. Bienvenue à la maison, Frank


Panini Comics nous apporte la plateforme qui nous vient à l’esprit lorsqu’on parle de l’âge d’or du châtiment.

Le Recruteur est l’un des personnages les plus complexes de Marvel d’aujourd’hui, non seulement parce qu’il est une épaule commune dans un monde plein de super-héros, mais aussi parce que son symbolisme a été adopté par des groupes de droite dans le monde réel. Ce dernier a conduit Marvel à tenter d’éloigner le personnage desdites activités.

Peut-être à cause de son caractère compliqué, Frank Castle fait partie de ces personnages qui connaissent de nombreux hauts et bas à plusieurs niveaux. Après une série de phases ratées et sans direction, The Recruit est l’un des personnages prévus pour l’initiative Marvel Knights de Joe Quesada et Jimmy Palmiotti, dans l’espoir de faire revivre le personnage. Christopher Golden et Tom Snigoski étaient en charge de ce nouveau niveau et prenaient le renouveau au pied de la lettre, car le château devenait un vengeur surnaturel au service des anges divins. Cette phase fut un échec et semblait être un clou de plus dans le cercueil du personnage.

Heureusement, sont arrivés deux hommes qui semblaient être les écrivains parfaits pour The Punisher, Garth Ennis et Steve Dillon, les créateurs de Preacher. Son travail avec Vertigo Comics a été son meilleur travail sur Controlling the Castle. Panini Comics a complété la plateforme de ces deux grands artistes dans le cadre de la collection Marvel Saga, ci-dessous nous vous parlerons de la première partie de la collection.

La punition dans sa forme la plus pure

Dans ce volume, nous revenons dans la zone où le personnage est le plus à l’aise, au niveau de la rue, luttant contre les criminels ordinaires, mais aussi contre le crime organisé. La tour surnaturelle est loin, on aperçoit à nouveau un personnage solitaire avec « seulement » des fusils et des grenades. Le Dark Avenger veut se faire connaître et tous les méchants de la rue savent qu’il est de retour, c’est pourquoi il affronte la puissante famille mafieuse Gnucci, dirigée par la terrible Ma Gnucci, il n’hésitera pas à tout faire pour la détruire. caractéristique.

En raison du récent déchaînement de Castle, la police déploie à contrecœur sa « meilleure équipe » pour enquêter sur la bataille dans les rues dans l’espoir d’arrêter The Punisher et les Gnucci. Dans le même temps, l’influence de Castle commence à se faire sentir dans diverses parties de New York à mesure que de plus en plus d’imitateurs de The Punisher commencent à apparaître avec un objectif commun : tuer des criminels et des criminels.

Ennis montre qu’il n’y a pas de meilleur écrivain pour être le « méchant » d’une bande dessinée. Le penchant du scénariste irlandais pour la violence, l’humour noir et la mauvaise humeur est évident, car ce volume en regorge. Nous voyons un Frank Castle difficile et très amusant.

En même temps, il raconte une bonne histoire avec des dialogues très intéressants qui nous font sourire plus d’une fois sans recourir à la violence. L’essentiel de la comédie vient des méchants, qui sont à la fois dangereux et drôles. Comédie sur le genre comique, Garth Ennis The Punisher est brutal et brutal, mais en même temps ne vous y trompez pas si c’est très drôle à lire.

Bien qu’une partie de cette combinaison de brutalité et d’humour soit également due à Steve Dillon. Dillon est le partenaire idéal d’Ennis pour la combinaison de violence et de rire. L’artiste britannique n’est peut-être pas entré dans l’histoire de la bande dessinée pour dessiner des visages, mais personne ne peut nier qu’il est l’artiste parfait pour ce type d’histoires. Une des choses qui ressort dans cette bande dessinée, surtout dans le zoo où la brutalité et le rire vont de pair, c’est la brutalité des visuels. On voit à quel point les deux artistes se sont amusés à créer cette bande dessinée.

Il faut souligner le bon travail du coloriste Chris Sotomayor et de l’encreur Jimmy Palmiotti, qui donnent plus de personnalité à une bande dessinée dont les fans de Punisher se souviendront toujours.

Édition Marvel Saga. L’Ouvrier d’Ennis et Dillon 1 de Panini Comics

Panini Comics compile le premier set de la Marvel Saga, c’est-à-dire la version cartonnée de ce Punisher emblématique. La série serait initialement une collection fermée de douze numéros, mais les mêmes artistes continueraient plus tard les personnages des trente-sept numéros de la série, qui seraient inclus dans les futurs volumes de cette collection. Ce premier volume contient les six premiers numéros. Comme toujours, ce volume est basé sur Julian M. Clemente contient une brève introduction. La taille coûte 16,50 €.

Punishment d’Ennis et Dillon est un incontournable dans les rayons, c’est une série à laquelle Frank Castle pense lorsqu’on l’évoque, elle est brutale, voyou et avec beaucoup d’humour noir. Ennis et Dillon forment un tandem parfait et s’avèrent être les bons pour créer l’une des meilleures histoires d’un personnage aussi emblématique. Si vous cherchez une bande dessinée pour vous amuser et profiter d’une dose de violence en même temps, passez le jeu de mots le plus embarrassant, n’hésitez pas et prenez cette bande dessinée.

La saga Marvel. Employé par Ennis et Dillon 1

L'Undertaker, Le Merveilleux, Marvel Comics, Panini Comics, Panini ComicsL'Undertaker, Le Merveilleux, Marvel Comics, Panini Comics, Panini Comics

Auteurs : Garth Ennis et Steve Dillon

Éditeur: Panini Comics

Format : Relié

Dimensions : 17 x 26 cm

Pages : 152 en couleurs

ISBN : 9788411509602

Prix ​​: 16,50 €

Résumé : Il était assez grand pour faire pousser de la mauvaise herbe dans les rues de New York. Maintenant, la recrue est de retour pour nettoyer les rues et éliminer la brutale famille criminelle Ma Gnucci, le traquer au sein du département de police, regarder plusieurs assassins copier ses astuces et essayer d’empêcher son sang de toucher le nouveau. Voisins.

Garth Ennis et Steve Dillon réalisent The Punishment, une histoire pleine de violence et d’humour noir qui marque le début d’un nouvel âge d’or pour Street Fighter de Marvel.