Reseña de Kill ou Omnibus Kills.

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Kill Or Be Killed Destacada


Le mélange dynamique

Nous sommes habitués à voir les rois noirs Brubaker et Phillips dans des histoires similaires à ce qu’ils ont fait dans le crime au fil des ans. Indifférence, Où j’ai vu un cadavre, Night Fever, Faded Out ou Pulp sont quelques exemples des œuvres de ce duo au cours des dernières décennies, ils ne sont pas seulement considérés comme les meilleurs auteurs de ce genre. L’une des équipes artistiques les plus solides, les plus fiables et les plus grandes de l’histoire de la bande dessinée.

Parfois ils sortent de leur zone de confort pour introduire le surnaturel ou les super-héros dans leurs histoires, les fantastiques Fatale et Incognito en sont de bons exemples. Et c’est dans cette catégorie de mélange des genres que l’on place Kill or Be Killed, une œuvre impressionnante par sa présentation, mais pas par son excellence.

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Je te tuerai ou ils me tueront.

La prémisse de l’histoire ne pourrait pas être plus effrayante. Même si ça venait de la tête de Donnie Katz. Dylan, qui a tendance à se suicider, n’a pas eu beaucoup de chance dans sa vie. Une nuit, lorsqu’il a vu un démon au lit, il a vu sa vie bouleversée et lui a donné un message incontournable : à moins qu’il ne tue Dylan. , il mérite de mourir.

Une fois l’influence de l’apparition surnaturelle surmontée, l’histoire se déplace vers le monde ordinaire, transformant notre protagoniste en un justicier masqué chargé de trouver l’homme qui mérite de mourir (et le meurtre vaut la peine d’un homme. Un tueur inexpérimenté. Dylan le doit bien). démon après son premier meurtre. Tout devient plus compliqué lorsqu’il se rend compte qu’il ne fait que commencer.

Le jeune homme doit faire face à sa part des négociations et aux problèmes personnels qui lui gâchent la vie, notamment avec sa petite amie qui vit avec Kira. Tout cela est très Peterparkien. Avec tout cela, d’une part, il décide que tout ce qui lui est arrivé est vrai, ou que même sa folie a atteint une limite imprévisible, et d’autre part, il sera persécuté des deux côtés. Police et mafia…

Brubaker, peut-être influencé ici par le portrait de David Berkowitz (le fils de Sam, responsable de six meurtres à la fin des années 1970, ordonne au démon possédé par le chien du voisin de commettre le crime), raconte avec brio Dylan à la première personne. Les mésaventures, les succès, les échecs et surtout les moments où le destin était sur le fil du rasoir. Et Phillips, pour sa part, fait du bon travail dans son style réaliste habituel avec le support couleur d’Elizabeth Breitwether.

Tuer ou être tuéTuer ou être tué

Version mortelle

Auparavant, cet ouvrage était rassemblé en quatre volumes, mais cette édition est plus adaptée pour profiter de l’histoire sans erreurs. C’est scandaleux à tous points de vue, et pour couronner le tout, il y a une finale étonnamment satisfaisante (et étonnamment, en même temps attendue) pour arriver à une destination après un voyage incroyable pour obtenir tout ce que vous avez toujours voulu.

Quant à l’impressionnante édition, l’édition de luxe de la ligne Kill or Be Killed Omnibus, publiée par Panini Comics au format cartonné, contient 624 pages d’un format de 18 x 27,5 cm. En couleur. La version américaine des vingt numéros qui composent la série originale comprend une traduction. Il comprend également une section finale chargée d’illustrations et de couvertures, entre autres. Le prix public conseillé pour cette taille est de 60 € et sa mise en vente est prévue en novembre 2023.